
Zoé en volontariat en Roumanie
En mars dernier, je suis partie en Roumanie pendant deux mois pour un projet qui s’appelle “Superheroes for Nature” dans un centre scout a Nocrich,
Découverte et apprentissage.
C’est difficile de résumer tout cela par écrit.
Concernant le travail, j’ai fait un peu de tout que ça soit du « housekeeping », planter des arbres ou cueillir des oranges.
Je considère que chaque jour aura été marquant que ce soit d’un point de vue personnel, vis à vis des événements ou vis à vis des expériences. Je me vois incapable de détacher des moments particuliers de tout ça.
Un petit temps d’adaptation, pas mal de remise en question, seul face à l’inconnu.
Le mode de vie, la liberté que ma position me procurait. Rencontrer plein de monde de tous horizons. Bouger, découvrir de nouveaux lieux, un style de vie sans trop de contraintes ou de limitations. Être seul, indépendant, ne devoir rendre de compte à personne.
Dur, très dur. Je ne suis pas vraiment rentré chez mes parents. Après une telle expérience, le regard qu’on a sur le monde est totalement changé. Avoir goûté à une telle liberté ne rend pas les choses faciles. Afin d’éviter le retour à la case «prison», je me suis arrangé pour avoir un appartement et un travail directement à mon retour et je n’ai aucun doute vis-à-vis du fait que ça ait été nécessaire! Sinon le retour en Belgique? Froid, très froid. Les gens? Sympa, mais on n’est plus nécessairement sur la même longueur d’onde, on ne partage pas le même monde, les mêmes objectifs… La culture? Rien d’exceptionnel, clairement pas comparable avec un pays qui base son économie sur les échanges internationaux… Certains ont le mal du pays en quittant leur chez soi, moi je considère avoir le mal du pays de retour chez moi…
Se renseigner un minimum sur le pays, l’administratif etc. Avoir au moins des bases de vocabulaire et beaucoup de motivation. Faire de petits voyages avant le grand départ. Être sûr que c’est vraiment ce que l’on veut.
Avoir le mal du pays est pour moi quelque chose d’inenvisageable. Partir pour une longue durée n’est pas un choix qui se fait à la légère. Je dirais juste aux gens qui ont des coups de blues de se rappeler le comment du pourquoi ils en sont arrivés là.
En mars dernier, je suis partie en Roumanie pendant deux mois pour un projet qui s’appelle “Superheroes for Nature” dans un centre scout a Nocrich,
Je suis partie faire une 2e rhéto à Worcester en Angleterre.Au début, j’étais surexcitée d’être dans un autre pays, mais ça n’a pas été facile
Avant mon arrivée, le responsable Eurodyssée à Valence, Manolo, m’avait envoyé toutes les informations par rapport au métro à prendre, aux directions pour arriver à
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