
Sarah, partie travailler au Canada
À la base, je devais partir deux mois faire le tour de l’est et de l’ouest canadien. Mais est arrivée la pandémie, les frontières ont
J’étais étudiante en histoire, découvrir une autre culture en prenant part à la vie de tous les jours s’imposait. Prague pouvait m’apporter de nouvelles choses, de nouvelles rencontres.
Très compliqué de résumer cela ! Exactement de la même manière que lorsqu’on te demande « alors, comment c’était ? ». Mais je vais faire de mon mieux. Je suis d’abord partie une première fois avec mon papa pour découvrir la ville, puis une deuxième fois « sans billet retour », début février.
Après une semaine « Accueil Erasmus » pendant laquelle on a beaucoup fêté, les cours ont commencé. Ils étaient très intéressants, variés et plus interactifs qu’en Belgique. La participation en classe était souvent requise…
Les rencontres que j’ai pu faire étaient exceptionnelles : Français, Italiens, Espagnols, Américains, Portugais, mais aussi Égyptiens, Serbes, il y avait de tout… et finalement peu de Tchèques, à mon plus grand regret. Je suis toujours en contact avec mes « amis Erasmus ».
Des découvertes, chaque jour, d’autres cultures et mentalités. C’était très enrichissant ! Sans aucun doute, cette expérience nous apprend à être plus ouverts.
J’ai fait en sorte de voyager également : Budapest, Ljubljana, Bled, Balaton, Salzbourg, un trip de 10 jours en voiture que je ne suis pas prête d’oublier ! Même si on est en Europe, on en découvre un peu plus chaque jour, l’Europe centrale est passionnante par son histoire.
Les nombreuses découvertes tant humaines que matérielles, culturelles, architecturales, etc. C’était sensationnel, au point que dès que j’entends « Oh je vais à Prague quelques jours. T’aurais pas des bons plans? », je repense directement à tous ces bons moments.
C’est une véritable chance de pouvoir faire ce que l’on fait via ERASMUS, comme dirait mon grand-père qui n’en a pas eu la chance étant jeune. Il faut en profiter !
Les Tchèques. J’ai eu beaucoup de difficultés à les « apprivoiser ». C’est une ville très touristique, mais les Tchèques ne supportent pas les touristes. J’ai mis du temps à me faire accepter comme une habitante temporaire de Prague…
Petite anecdote : je me souviens avoir été 3 fois à la poste, car je devais renvoyer des papiers à l’UCL et personne ne voulait répondre à mes questions. Dès qu’ils entendaient parler anglais, ils faisaient mine de ne pas m’entendre ou pire … ils fermaient la fenêtre de leur guichet devant moi.
Au-delà de ça, j’ai rencontré aussi des Tchèques vraiment chouettes, surtout autour du milieu académique. J’ai de très bons souvenirs de mes professeurs par exemple…
J’ai décidé de prendre des cours de tchèque. C’était dur ! C’est impossible de revenir bilingue, pas comme l’anglais.
Mais j’ai vite compris que savoir dire les formules de politesse dans leur langue, c’était déjà un bon début, une manière de montrer qu’on s’intéresse à eux, qu’on ne vient pas juste pour « profiter ». Car s’il y a bien quelque chose que j’ai compris, c’est qu’ils n’apprécient pas le fait que l’Europe ne leur demande jamais leur avis, contrairement à la partie ouest-européenne.
Se renseigner sur l’endroit dans lequel on débarque, même si on ne le découvre jamais vraiment qu’en y étant ! Rejoindre des groupes Facebook Erasmus, c’est très utile aussi !
J’ai appris beaucoup sur les autres, sur différentes cultures, mais aussi énormément sur moi. C’est dans ce genre de situation, où tu es livré à toi-même, que tu commences à te comprendre, à prendre conscience de qui tu es vraiment. Et ça, je ne m’y attendais pas !
À la base, je devais partir deux mois faire le tour de l’est et de l’ouest canadien. Mais est arrivée la pandémie, les frontières ont
J’allais à l’école de 7:30 à 15:00. Après, je pratiquais un sport. J’ai pratiqué un sport par saison : cross-country, natation et athlétisme.
Mon projet de départ était de partir seule. Cependant, une collègue de travail a été intéressée par ce projet et nous avons décidé de monter
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