À 16 ans, je suis partie suivre 3 mois d’études secondaires en Flandre.
Je voulais perfectionner mon néerlandais et apprendre à mieux connaître mon pays. Entre Wallons et Flamands, il y a beaucoup de stéréotypes et je voulais me faire mon propre avis. J’ai donc décidé de partir en immersion dans une école secondaire flamande (avec le programme Expedis).
Je suis arrivée dans ma famille d’accueil fin août et je suis repartie début décembre, c’était donc une expérience assez courte, mais suffisante pour faire plein de rencontres. J’ai rencontré notamment beaucoup d’autres étudiants d’échange. On s’entendait tous assez bien parce qu’on vivait la même chose. Personnellement, j’ai eu du mal à nouer des liens avec les élèves de mon école, mais bon, ça arrive 🙂
Le côté pratique de faire un échange pas trop loin, c’est que je peux encore voir ma famille d’accueil assez souvent. Aussi, je peux continuer à pratiquer la langue sans devoir voyager à l’autre bout de la terre.
J’étais épuisée. On ne s’en rend pas compte, mais vivre dans une autre langue, ça demande beaucoup d’efforts.
Les Flamands parlent très bien français, et quand ils entendaient que j’étais francophone, ils switchaient automatiquement en français, ce qui m’empêchait de pratiquer.
Honnêtement, les échanges avec les autres étudiants d’échange. Je ne suis peut-être pas partie à l’autre bout du monde mais j’avais le monde à portée de main.
J’ai vraiment eu du mal à m’intégrer dans ma classe et je n’ai pas vraiment eu le temps de régler le problème vu que je ne suis restée que trois mois.
Faire un échange, c’est une expérience formidable. Il y aura peut-être certains aspects moins cool et ce sera parfois difficile, mais ça en vaut la peine.
Après avoir obtenu mon bachelier en Ressources Humaines en Belgique, je souhaitais faire un master dans le même domaine, ce qui m’a été déconseillé par
Je suis parti avec le soutien du Bureau international de la jeunesse. Leurs stages Eurodyssée consistent en un voyage de généralement 6 mois. Le premier
Premièrement, ça a été un certain choc pour moi d’arriver dans un petit village comme Virton. J’adore les grandes villes où on peut passer inaperçu.
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