Valentine, volontaire au Sri Lanka
J’avais envie de voyager, de découvrir de nouvelles traditions, de nouvelles cultures et de nouvelles personnes. A l’âge de 23 ans, je suis donc partie
À 27 ans, je suis parti travailler et voyager en Amérique latine. Et ce, plus précisément au Mexique, au Guatemala, en Colombie, en Équateur et au Pérou.
Mon rêve était de réaliser un beau et long voyage une fois mes études d’éducateur spécialisé terminées. J’avais planifié de voyager au Mexique, au Guatemala, de retourner au Mexique et ensuite de partir vers les États-Unis et le Canada. Finalement, j’ai complètement changé mes plans car j’appréciais tellement cette culture latina tant au niveau des gens, de la langue que des lieux naturels et culturels que j’avais découverts.
Au Guatemala, j’ai travaillé comme bénévole / volontaire dans un hôtel écologique durant 6 semaines. Ce fut une expérience fort positive. Et au Mexique, j’ai travaillé sur un chantier (construction d’un hôtel) durant 2 semaines. Le reste n’a été que des visites, des rencontres, de l’aventure, quelques mésaventures aussi (mais très peu par rapport aux aventures plus positives) et des déplacements par tous les moyens possibles et imaginables (bus surtout ; auto-stop et parfois le bateau).
Ce qui m’a plu là-bas c’est l’accueil des gens et leur joie de vivre. C’est une culture très différente de ce que l’on connaît nous en Europe. Le fait qu’il faisait quasi beau tous les jours, c’était aussi agréable. Et même si certains jours il pleuvait, c’était plus rafraîchissant que vraiment handicapant. La nourriture m’a aussi beaucoup plu, car c’était très différent aussi de la Belgique (fort épicée au Mexique). Puis les fruits tels que les bananes, noix de coco et mangues que l’on peut avoir comme ça aux arbres fruitiers sans devoir aller au magasin c’est top !
Ce qui m’a surpris c’est le côté tranquille des gens, le fait qu’ils ne s’énervent que très rarement. Ils apprécient plus de résoudre les conflits via le dialogue et dans le calme plutôt que de hausser le ton (ce qui est mal vu là-bas). Le fait aussi qu’ils n’étaient jamais stressés, que tout problème finirait toujours par s’arranger au moment voulu. Et la gentillesse extrême des gens même s’ils vivent dans des conditions très modestes. Ils gardent le sourire en toute circonstance. Certains comportements machistes aussi (vis-à-vis des femmes) m’ont beaucoup surpris (comme le fait de siffler une fille en pleine rue / avoir des propos sexistes, machistes / le fait de se montrer très viril devant une femme). C’était surtout au Mexique que ce genre d’attitudes m’a surpris assez négativement. Et puis, de temps en temps, le fait inévitable d’être pris pour un touriste « stupide » et « ayant plein d’argent » donc le fait que parfois, les gens demandent de l’argent dès qu’ils te voient en rue ou ailleurs en pensant que tu roules sur l’or vu que tu viens d’un pays « riche ».
Faire le (bon) choix pour une région, un pays et ne pas vouloir faire trop en peu de temps. C’est le meilleur moyen pour que ce soit plus une course contre la montre qu’un vrai voyage rempli de découvertes. Parfois, il vaut mieux découvrir moins d’endroits, mais réellement profiter de ce qu’on découvre (sans oublier les rencontres avec les populations locales !). Ensuite, se renseigner au maximum sur le climat, les coutumes et habitudes de vie (afin de ne pas choquer les populations locales), les endroits touristiques, mais aussi les endroits plus délaissés par les touristes. Et enfin, ne pas trop préparer non plus, car il faut laisser un maximum à l’effet de surprise. C’est ça qui est le plus beau dans un voyage.
J’ai été accueilli chez des Mexicains via le couch surfing (logement chez l’habitant) donc, j’ai très vite pu me fondre dans leur quotidien au niveau de leurs habitudes de vie, alimentaires… Le plus difficile peut-être était la chaleur et le fait que mon espagnol n’était pas encore au top. Donc, il fallait souvent demander aux gens de répéter, reformuler. Mais globalement, les premières semaines ont été positives !
Une fameuse claque, mais dans le sens inverse. Très heureux de revoir mes amis et ma famille. De boire de bonnes bières belges. Mais quand je suis revenu (au mois d’avril 2016), il faisait encore très froid en Europe, l’hiver n’était pas encore fini ! Et donc, ça a été un fameux choc par rapport à ce climat très chaud que j’avais eu là-bas. Donc voilà, un retour un peu à double tranchant. À la fois heureux d’être de retour et fier de l’avoir réalisé. Et d’un autre côté, au bout de quelques jours, des amis de là-bas qui manquent, le soleil, les sourires et la joie de vivre des gens. Un autre mode de vie…
Le couchsurfing pour loger chez les habitants et même, rencontrer des gens plus facilement. Loger en auberge de jeunesse, car ce sont les meilleurs moyens pour rencontrer d’autres voyageurs. Enfin, apprendre quelques rudiments d’espagnol afin de communiquer avec les gens, car l’anglais est très peu répandu là-bas. Et quand on montre aux gens de là-bas qu’on parle espagnol, la perception est tout de suite totalement différente !
Ne pas avoir peur d’aller vers les locaux afin de leur demander des informations pour où loger, où manger, les lieux à visiter. Faire connaissance avec eux un maximum, car ça leur fait plaisir de voir qu’on s’intéresse à leur pays. Ne pas rester qu’avec des Européens et surtout ne pas toujours rester avec le groupe d’amis avec lequel on voyage. C’est rester dans sa zone de confort, mais tu passerais à côté de beaucoup de belles choses. Donc, savoir se détacher un peu de son groupe d’amis et voler de ses propres ailes.
Cette expérience m’a apporté beaucoup de maturité, de prise de confiance en moi. Une (encore) plus grande ouverture d’esprit que j’avais avant de partir. Et le rêve de retourner un jour là-bas afin de m’y établir définitivement… Si tu as le rêve de voyager, fais-le. On ne vit qu’une fois et il ne faut surtout pas avoir des regrets !
J’avais envie de voyager, de découvrir de nouvelles traditions, de nouvelles cultures et de nouvelles personnes. A l’âge de 23 ans, je suis donc partie
J’avais une idée assez arrêtée de ce que je voulais faire (cheerleader). Arrivée sur place, ma famille d’accueil m’avait inscrite dans un cours appelé « JROTC »
Je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire après ma rhéto et je n’avais aucune notion d’anglais. Je trouvais qu’il était important de
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