Je suis parti en France, à Dijon, faire un stage professionnel dans le secteur des sciences technologiques et numériques.
Je suis arrivé à Dijon en TGV un samedi, j’ai été directement accueilli au début de semaine par le Centre Régional d’Information Jeunesse (CRIJ), avec qui j’ai traité la partie administrative de mon séjour. Et puis j’ai rencontré mon tuteur, on a discuté autour d’un thé. Je connaissais déjà bien la France, Dijon est une ville agréable où l’on peut faire beaucoup de choses à pied et fait partie d’un grand patrimoine culturel.
J’ai effectué mon stage dans le laboratoire de fabrication (FabLab) « KelleFabrik » à Dijon. Il s’agit d’une association qui met à la disposition de tous machines et outils numériques pour la réalisation de projets. Les tâches qui m’étaient attribuées concernaient principalement la communication et le graphisme web du site internet et des différents ateliers, la fabrication numérique avec les outils disponibles et l’animation d’ateliers ainsi que le renseignement des personnes sur les FabLabs et l’utilisation des logiciels et machines.
Pour financer mon voyage, j’ai bénéficié de la bourse Eurodysée du Bureau international de la Jeunesse (BIJ) qui octroie une allocation mensuelle pour subvenir à ses besoins durant le stage. Pour moi, elle s’élevait à 763 €. C’est aussi via ce programme que j’ai trouvé mon stage.
Cette expérience m’a permis de prendre plus confiance en moi et de plus m’ouvrir aux autres. J’ai aussi acquis de nombreuses compétences et savoir-faire, notamment sur l’utilisation des machines et des logiciels de modélisation 3D ainsi que la réparation d’objet, l’impression 3D, la découpe laser et aussi la fabrication électronique, robotique, le travail du bois, l’informatique… J’ai atteint tous mes objectifs voulus.
J’ai rencontré pas mal de personnes de pays différents avec qui on a pu échanger, notamment sur leur culture, leur langue. J’ai pu aussi visiter la ville de Dijon et découvrir son patrimoine culturel.
Eurodyssée est une expérience idéale pour mieux appréhender la vie active, et acquérir de nouvelles compétences. Les démarches étaient faciles et suivies. Ça aura été très enrichissant pour moi.
J’avais une idée assez arrêtée de ce que je voulais faire (cheerleader). Arrivée sur place, ma famille d’accueil m’avait inscrite dans un cours appelé « JROTC »
Après mes études, je ne savais pas trop vers quoi me diriger. Je ne me sentais pas prête à rentrer directement dans la vie active.
L’aventure a débuté pour moi et 24 autres jeunes au mois d’octobre 2020. Venus de différents pays européens comme la Belgique, la France, le Portugal,
