Jonathan en PVT en Nouvelle-Zélande

Expériences inoubliables

À propos de moi

Je m’appelle Jonathan Maus, j’ai 27 ans et je suis chargé d’études dans un bureau d’études d’incidences environnementales.

À propos de mon voyage

Après mes études supérieures, je suis parti en PVT en Nouvelle-Zélande.

En quelques mots

Le soir de la remise des diplômes, après deux-trois verres, on a décidé avec un ami que le monde du travail pouvait attendre encore au moins un an. Quatre mois et quelques démarches administratives plus tard, nous atterrissions en Nouvelle-Zélande. À l’arrivée, le jetlag a été un peu plus assommant que prévu, et il nous a fallu un ou deux jours pour se réaligner sur le bon fuseau horaire. Je me souviens d’un immense sentiment de liberté à l’atterrissage à Auckland, et aussi d’excitation à l’idée de commencer ce voyage. Il nous a fallu une bonne semaine pour prendre nos repères dans la ville, se renseigner sur les bons plans pour trouver un van, les spécificités du pays, etc., et nous nous sommes mis en route directement après cela.

Les trois mois qui ont suivi ont principalement été occupés par des randonnées, de visites de parcs naturels, villes et villages, des rencontres de ‘backpackers’, quelques selfies, et du camping le long de ruisseaux ou dans les montagnes. Une fois nos poches bien allégées, nous avons trouvé un petit job de saisonnier dans un bar-café situé dans une réserve naturelle. Nous y sommes resté un peu plus de trois mois, ce qui nous a permis de rencontrer des locaux et d’autres saisonniers, et de tisser des contacts un peu plus profonds que lors des rencontres ‘sur la route’. Une fois les poches renflouées, nous avons remis le van en marche et repris la visite du pays, en essayant de profiter de tous les parcs naturels, chutes d’eau, points de vue et vignobles dont regorge le pays.

À l’arrivée de l’hiver, nous avons eu la chance de trouver un contrat de saisonnier dans une station de ski, située au pied d’un volcan. Si les jours de poudreuse étaient assez rares, l’ambiance joyeuse et festive de cette petite ville durant la saison froide valait amplement l’expérience. Après ces quelques mois de travail et fête, nous avons encore une fois repris la route et fini la visite de l’île nord. En parallèle à ces grandes lignes, il est important de noter que de nombreuses rencontres exceptionnelles, coups de chance et malchance, expériences positives et négatives nous ont tour à tour soit fait éclater de rire soit donner envie de pleurer (même si la moyenne reste très significativement positive!).

Ce qui m’a surpris

Le nombre de jeunes (et moins jeunes) que l’on a rencontré et qui était dans le même état d’esprit, de vouloir voyager, être en contact avec et profiter de la nature, et la bienveillance générale des gens rencontrés. C’était très rafraichissant.

Ce qui m’a déplu

Par moment, le manque de respect de certains backpackers ou touristes envers les locaux ou la nature. Plus généralement, la surcharge touristique de certains endroits naturels, et l’impact négatif évident que cela entraine (et dont nous avons malheureusement contribué, malgré nous).

Un bon plan à partager ?

Pas vraiment un bon plan, plutôt une réflexion. La tentation de profiter au maximum de son voyage avec un programme d’activités bien rempli est souvent forte. Mais prendre le temps de s’arrêter et de s’adapter au rythme de la vie locale d’un endroit m’a souvent apporté des expériences plus profondes et mémorables.

Bref

Je suis revenu de mon voyage avec des souvenirs magiques, des rencontres inoubliables, une plus grande confiance en moi (à pouvoir trouver une solution et me sortir de situations inconfortables), et, même si c’est un peu cliché, une plus grande ouverture d’esprit grâce aux nombreuses personnes et cultures rencontrées.

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