Partir à l'étranger

Ca se prépare !

Tu trouveras ci-dessous quelques conseils et bons plans

pour mettre ton projet sur les rails.

Vue d'ensemble des étapes de préparation d'un voyage à l'étranger

Définir ton projet de voyage

Le panel de possibilités pour partir à l’étranger est très L A R G E !

Alors, comment t’y prendre pour choisir ?

Voici les différents éléments qui t’aideront à identifier le(s) type(s) de mobilité qui pourrai(en)t te correspondre :

Une des premières choses à faire est d’identifier tes objectifs. Qu’est-ce que cette expérience à l’étranger va/doit t’apporter ? Veux-tu vivre une expérience professionnelle ? Apprendre une langue ? Découvrir une autre culture ?… Ensuite, hiérarchise-les en fonction de leur priorité.

Une fois que tu as déterminé tes objectifs principaux, identifie le type de mobilité qui peut y répondre. Pour t’aider, consulte la partie “Découvre le monde” ci-dessous.

En fonction de ton âge et/ou de ton statut (étudiant, travailleur, demandeur d’emploi…), tu auras accès à différents types de séjours.

Par ex. : si tu es étudiant dans le secondaire et que tu as moins de 18 ans, tu peux choisir de partir apprendre une langue dans le cadre scolaire ou alors pendant les vacances, mais tu ne pourras pas partir en Programme Vacances Travail (visa permettant de séjourner sur une longue durée dans un pays tout en y travaillant), car il faut avoir atteint la majorité.

Tu trouveras dans la partie “Découvre le monde” ci-dessous les différentes possibilités de séjours qui s’offrent à toi en fonction de ta situation.

Réfléchis à la durée de ton voyage en fonction du temps dont tu disposes, de l’objectif de ton séjour, de tes projets (reprise d’étude, congés sans solde à durée déterminée…). Sois attentif au fait que certains programmes de mobilité sont des projets à court terme (de quelques semaines à quelques mois), d’autres à long terme (de plusieurs mois à une année).

Certains types de séjours sont plus coûteux que d’autres.

Par ex. : si ton souhait est d’apprendre une langue à l’étranger, suivre des cours dans une école de langues sera plus onéreux qu’apprendre la langue en immersion.

Aussi, partir via un organisme d’envoi est pratique (aide à la préparation du séjour, soutien sur place…), mais cela a un coût qui peut parfois être conséquent. Par ailleurs, selon le type de séjour, ce n’est pas toujours obligatoire de passer par ce type d’organisme.

Le choix de ton (tes) pays de destination est très large et aura également un impact sur ton budget. Plusieurs critères peuvent guider ton choix : le coût de la vie sur place, le prix des documents de voyage, des transports, des équipements à prévoir (partir dans les pays nordiques implique d’emmener avec soi des vêtements adaptés au froid qui sont parfois onéreux)…

Diverses possibilités s’offrent à toi pour partir à l’étranger : tu peux partir avec un organisme d’envoi, en solo, en groupe, en famille d’accueil, dans une école de langues… En fonction de ton choix, les démarches à entreprendre seront différentes. À toi de voir ce qui te convient le mieux dépendamment de tes envies et de tes objectifs.

  • Si tu as besoin de soutien ou de partir à l’étranger sans le stress des modalités pratiques à régler, tu peux décider de te faire accompagner par un organisme d’envoi. Tu pourras également choisir des programmes de mobilité qui sont plus encadrés.
    Par ex. : suivre une partie de tes études secondaires en Italie avec le programme Expedis, apprendre l’espagnol au Pérou dans une école de langues…
    Tu pourras également décider (dans la mesure du possible) du type de logement que tu souhaites dans ton pays de destination.
  • Si tu es plus autonome, que tu as l’âme d’un aventurier et que tu es prêt à faire face aux imprévus, tu peux organiser ton voyage seul (trouver un logement, t’occuper du transport et des démarches administratives…) avec éventuellement le soutien d’un service d’information. Dès lors, tu peux opter pour des types de séjours moins encadrés.
    Par ex. : partir au Portugal et voyager de ferme en ferme en faisant du wwoofing, travailler et voyager en PVT en Nouvelle-Zélande par tes propres moyens…

De plus, en fonction de la finalité de ton séjour, certains programmes sont prévus pour que tu partes seul ou en groupe.

Par ex.: le programme Axe Sud implique de partir en groupe, car le but est la rencontre interculturelle entre plusieurs groupes de jeunes. A contrario, le programme Tremplin langues (du BIJ) prévoit que tu partes seul puisque l’objectif est d’apprendre une langue.

Comme tu peux le constater, définir ton projet de mobilité et le type de séjour correspondant n’est pas toujours évident au vu des nombreuses possibilités qui s’offrent à toi. N’hésite pas à nous contacter si tu souhaites en discuter pour y voir plus clair.

Pour t’inspirer, tu peux aussi aller lire des témoignages de jeunes voyageurs sur :  www.enviesdailleurs.be

Retrouve aussi des témoignages sur notre chaîne Youtube IjArlon (playlist témoignages de jeunes voyageurs) : www.youtube.com/user/IjArlon

Pour toute question, passe nous voir dans nos bureaux !

Organiser ton voyage

Partir à l’étranger, ça se prépare !

Le temps de préparation de ton voyage dépendra :

  • du type de séjour que tu entreprends (jusqu’à un an à l’avance pour les séjours scolaires) ;
  • de ton pays de destination (la procédure pour obtenir certains documents de voyage peut prendre plusieurs mois) ;
  • des critères d’obtention d’une bourse (dossier à remettre pour une date précise)

Veille donc à t’y prendre suffisamment à l’avance !

Peu importe le pays dans lequel tu te rends, renseigne-toi sur la monnaie locale, le climat, la culture, les risques éventuels liés à ta santé ou ta sécurité…

L’outil en +
Télécharge notre check-list « Pour réussir ton projet d’envies d’ailleurs » pour ne louper aucune étape.

Renseigne-toi sur les documents dont tu auras besoin pour passer les frontières (carte d’identité, passeport, visa, autorisation parentale, permis de conduire…).

Tu trouveras toutes les informations nécessaires sur diplomatie.belgium.be/fr (section « voyager à l’étranger »). Il est également conseillé de contacter l’ambassade du pays de destination pour vérifier les informations.

ATTENTION, il existe différents types de visa (pour étudier, travailler, visiter…) ! Veille à te procurer le bon en fonction de ton type de séjour et fais les démarches bien à l’avance. Attention également que certains pays exigent un visa même si tu ne fais que le traverser.

Vérifie bien les dates d’expiration de tes documents de voyage ! En effet, certains pays exigent des dates d’expiration qui dépassent ta date de retour en Belgique (parfois jusqu’à 6 mois).

L’outil en  +
Télécharge la check-list des documents de voyage à emporter avec toi pour un voyage réussi.

Il est important de te renseigner concernant les différentes assurances qui pourraient t’être utiles (assistance aux personnes, assurance annulation…). Fais attention aux doublons ! En effet, certaines de ces assurances peuvent être incluses avec une carte Visa, des assurances santé, l’assurance voiture de tes parents… Fais donc d’abord le point sur celles dont tu bénéficies déjà.

L’outil en  +
Télécharge la brochure « Un voyageur averti… » sur le site des affaires étrangères www.diplomatie.belgium.be.
Tu y trouveras des informations concernant les documents de voyage, les assurances nécessaires, l’assistance des Belges en difficultés…

Il existe des vaccins obligatoires pour partir à l’étranger, mais tout dépend de la destination dans laquelle tu te rends.

  • Les vaccins obligatoires : certains vaccins sont obligatoires, c’est-à-dire que tu ne peux pas rentrer sur le territoire si tu ne les as pas reçus. Pour les connaître, rends-toi au minimum 6 semaines avant ton départ chez ton médecin traitant ou dans un centre de vaccination. Lorsque les vaccins seront faits, ton médecin va te donner un certificat international de vaccination (carnet ou livret jaune). C’est grâce à ce document que les autorités pourront vérifier que tu es bien en ordre une fois que tu arriveras sur le territoire, à la douane. Attention, certains vaccins ne sont donnés que dans des centres conventionnés de médecine de voyage. Prends donc tes précautions et renseigne-toi bien à l’avance !
  • Les vaccins recommandés : bien que les vaccins reçus pendant ton enfance ne soient pas obligatoires, il est toujours préférable d’être en ordre de vaccination. N’hésite pas à discuter avec ton médecin des vaccins à faire pour la première fois ou des rappels à effectuer qui seraient utiles pour partir.

Plus d’infos : www.vaccination-info.be

Source : Fédération Infor Jeunes Wallonie-Bruxelles

En tant que citoyen résidant en Belgique, tu es inscrit au registre de la population de la commune dans laquelle tu habites.

  • Si tu pars à l’étranger pour un séjour de moins de 3 mois, tu n’auras pas à modifier quoi que ce soit en ce qui concerne ta résidence.
  • Si tu pars pour un séjour de plus de 3 mois et/ou que tu pars t’installer à l’étranger sans savoir si c’est définitif, tu peux rester inscrit au registre de la population de ta commune et te déclarer temporairement absent auprès de celle-ci. Cette absence temporaire peut être annoncée pour une durée d’un an maximum, renouvelable. Pour cela, tu dois conserver une résidence en Belgique (celle de tes parents par exemple) dans laquelle tu peux revenir à ton retour.
    Certains motifs permettent une durée d’absence temporaire plus longue. Par exemple, si tu pars suivre tes études à l’étranger et que tu es toujours à charge de tes parents, tu pourras être déclaré absent temporaire le temps de tes études.
  • Si tu pars t’installer à l’étranger de manière définitive et que tu ne souhaites plus être inscrit au registre de la population de ta commune, tu devras alors faire une déclaration de changement de résidence (accompagné d’un de tes parents si tu es mineur) auprès de celle-ci. Pense aussi à t’inscrire au registre de la population des autorités de ton pays de destination. En parallèle, tu peux également t’inscrire au consulat de carrière belge de ton pays d’accueil.

L’aspect financier est un critère non négligeable à prendre en considération dans l’organisation de ton voyage. Le prix total de ton séjour dépendra de ton pays de destination, du coût de la vie sur place, de ton logement, des transports, des activités prévues… Avant de partir, il te faudra donc établir un budget réaliste qui te permettra à la fois de t’en sortir financièrement et de vivre pleinement ton aventure.

Voici quelques pistes afin de t’aider à financer ton voyage :

 

ÉCONOMISER

De nombreuses bourses existent pour financer un séjour à l’étranger. En voici une liste non exhaustive :

1. Le Plan Langues du Forem

La Wallonie propose des bourses aux étudiants qui terminent leurs études secondaires pour :

  • une 2e rhéto à l’étranger ;
  • une 1re année d’études supérieures à l’étranger ;
  • suivre des cours de langue à l’étranger.

Ton immersion linguistique peut durer un semestre ou une année. Tu peux aussi mixer les différentes formules et différentes langues (par exemple, 1 semestre en seconde rhéto en Allemagne et 1 semestre pour suivre des cours d’anglais à Malte). Ces bourses sont disponibles pour une immersion en anglais, mais la priorité est mise sur le néerlandais et l’allemand.

Plus d’infos  : www.leforem.be

2. Le Bureau International de la Jeunesse (BIJ)

Il s’agit d’une organisation qui aide les jeunes à financer leurs projets à l’étranger (volontariat, projets personnels en lien avec tes études ou tes centres d’intérêt, stage professionnel…).

Plus d’infos : www.lebij.be

3. Wallonie-Bruxelles International (WBI)

Cet organisme octroie des bourses pour étudier, faire une recherche, travailler, effectuer un stage et apprendre une langue ou se spécialiser à l’étranger.

L’outil en +
Télécharge la brochure « Guide des bourses de Wallonie-Bruxelles » qui reprend l’ensemble des bourses du WBI sur www.wbi.be.

4. L’association Zellidja

Elle octroie une bourse de 900 € maximum aux jeunes francophones de 16 à 20 ans qui souhaitent voyager à l’étranger, pendant minimum un mois, afin d’explorer une thématique qui les intéresse (découvrir le féminisme à Cuba, interroger les maires d’écovillage en France…). Un dossier de présentation de ton projet est à déposer entre octobre et mi-février. Plus d’infos : www.zellidja.com

5. Les bourses Erasmus+

Ces bourses permettent de financer une partie de tes études (cours ou stage) à l’étranger, mais aussi des projets collectifs portés par des jeunes, des activités sportives… Plus d’infos : https://link.infini.fr/erasmus-3.

L’outil en +
Télécharge le répertoire des organismes de financement, d’envoi et d’information pour d’autres pistes d’aides financières (certains organismes d’envoi disposent de leurs propres bourses) sur https://link.infini.fr/repertoire-2.

Garde en tête qu’il est parfois nécessaire de s’inscrire plusieurs mois à l’avance pour accéder à certaines bourses. Mieux vaut donc t’y prendre bien à l’avance !

 

ÉCONOMIES

Mettre de l’argent de côté est un bon moyen de t’aider à financer ton voyage. Si tu travailles déjà ou que tu jobbes comme étudiant, il est possible de te constituer un capital de base.

 

SPONSORS

Pour faire sponsoriser ton voyage, il suffit de proposer une idée originale (blog, reportage, chaîne YouTube…) à une entreprise ou une ASBL. En échange de publicité, ils peuvent financer le tout ou une partie de ton séjour.

Des plateformes de financement participatif peuvent également t’aider à collecter des fonds pour réaliser un projet. Tu trouveras des exemples et plus d’infos dans la boîte à outils du site www.faubouger.be, dans la fiche “crowdfunding ou crowdgiving ?”.

 

CARTES DE RÉDUCTION

Elles offrent des réductions dans les domaines des loisirs, de la culture, du voyage, de la restauration…

Voici des exemples :

  • International Student Identity Card (ISIC) pour les étudiants à partir de 12 ans dans l’enseignement secondaire ou supérieur. Plus d’infos sur www.isic.be ;
  • International Youth Travel Card (IYTC) pour les jeunes non étudiants jusqu’à 30 ans inclus.
    Plus d’infos : www.isic.bewww.cartejeunes.be ;
  • La carte de membre des auberges de jeunesse. Elle t’offre des réductions dans plus de 3000 auberges de jeunesse à travers 59 pays. Plus d’infos : www.hihostels.comwww.lesaubergesdejeunesse.be.

 

TRAVAILLER PENDANT TON VOYAGE

Jobs saisonniers, séjour chez un hôte (jeunes au pair, wwoofing…), job étudiant, Programme Vacances Travail (PVT)… Plusieurs formules existent pour travailler ou troquer tes services contre le gîte et le couvert à l’étranger et donc t’aider à financer une partie de ton voyage. Tu trouveras plus d’infos dans la partie « Travailler à l’étranger » de ce chapitre.

L’astuce en +
Certains pays ont des bourses qui sont ouvertes aux jeunes étrangers, n’hésite donc pas à te renseigner auprès de ton organisme d’accueil ou dans un centre d’information jeunesse de ton pays de destination.

Partir à l’étranger aura forcément des conséquences sur tes droits sociaux : allocations familiales, mutualité, allocations d’insertion ou de chômage et CPAS. Il est donc très important de prendre contact avec les organismes concernés. Tu pourras ainsi les prévenir de ton départ à l’étranger et partir en toute tranquillité.

Si tu quittes la Belgique pour aller vivre, travailler ou étudier à l’étranger, tu peux vérifier sur le portail de la sécurité sociale (https://link.infini.fr/securite-sociale) si tes droits en matière de sécurité sociale belge sont susceptibles d’être maintenus. Il suffit d’indiquer ta nationalité, ton pays de destination, ton statut et le sujet sur lequel tu souhaites obtenir plus d’infos. Tu auras alors accès à un aperçu des droits que tu pourras conserver à l’étranger.

Plus d’infos : https://link.infini.fr/diplomatie.

L’outil en +
Le site mesdroitssociaux.be t’explique tout ce que tu dois savoir sur tes droits sociaux en fonction de ta situation !

 

ALLOCATIONS FAMILIALES

Les conditions ci-dessous s’appliquent à partir de 18 ans si tu es né avant le 1er janvier 2001, ou à partir de 21 ans si tu es né après cette date. Plus d’infos.

Ton droit aux allocations familiales s’arrête à la fin du mois au cours duquel tu atteins l’âge de 25 ans.

Par  ex. : Renaud fête ses 25 ans le 25 décembre 2024. Il va avoir droit aux allocations familiales pour tout le mois de décembre 2024, mais plus à partir du 1er janvier 2025.

Pour avoir droit aux allocations familiales, plusieurs conditions sont à remplir. Dans tous les cas, il faut :

  • avoir son domicile légal sur le territoire de la région de langue française (la Région wallonne, à l’exception des germanophones) ou, à défaut, avoir sa résidence en région de langue française (la Région wallonne, à l’exception des germanophones) ;
  • être de nationalité belge ou bénéficiaire d’un titre de séjour en Belgique ou avoir des parents apatrides*.

*Apatride : qui est dépourvu de nationalité légale, qu’aucun État ne considère comme son ressortissant.

Si tu pars à l’étranger, tu bénéficies des allocations familiales si :

  • tu adhères à un programme d’échange dans le cadre d’un projet européen (de type Erasmus) ;
  • tu bénéficies d’une bourse d’études d’une institution belge ou étrangère ;
  • tu étudies dans certains pays hors Union européenne qui ont conclu un accord bilatéral avec la Belgique : l’Algérie, le Maroc, la Tunisie, la Turquie et les États de l’ex-Yougoslavie ;
  • tes parents ou un de tes parents travaille(nt) en détachement en dehors de la Belgique en restant assujetti à la sécurité sociale belge et que tu résides avec lui(eux) à l’étranger (poste diplomatique par exemple) ;
  • tu obtiens ton diplôme de fin d’études secondaires en Belgique et que tu suis des études supérieures dans un pays en dehors de l’EEE*, les allocations familiales continuent d’être payées pendant la durée de tes études ;
  • tu as obtenu ton diplôme de fin d’études secondaires en Belgique et que tu suis des études non supérieures dans un pays en dehors de l’EEE*, tu as droit aux allocations familiales pour une année scolaire au maximum ;
  • tu as effectué tes études supérieures en Belgique et que tu suis des études supérieures dans un pays en dehors de l’EEE*, tu as droit aux allocations familiales pour une année scolaire au maximum ;
  • tu n’as pas encore obtenu de diplôme de l’enseignement supérieur en Belgique ou à l’étranger et que tu fais des études supérieures dans un pays en dehors de l’EEE*.

Pour tous les autres cas, le ministre des Affaires sociales peut aussi accorder une dérogation à la règle et déterminer les conditions, le montant et la période d’octroi des allocations familiales. Pour ce faire, tu dois rester domicilié en Belgique ou l’employeur du parent qui travaille en détachement doit avoir son siège social en Belgique.

*Qu’entend-on par EEE ?

EEE signifie Espace Economique Européen. Les pays qui en font partie sont les suivants : l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, la Bulgarie, Chypre, la Croatie, le Danemark, l’Espagne, l’Estonie, la Finlande, la France, la Grèce, la Hongrie, l’Irlande, l’Islande, l’Italie, la Lettonie, le Liechtenstein, la Lituanie, le Luxembourg, Malte, la Norvège, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la République tchèque, la Roumanie, la Slovaquie, la Slovénie et la Suède.

1. Tu travailles comme étudiant à l’étranger ?

La norme des 600 heures n’existant pas à l’étranger, tout travail à l’étranger sera soumis à la norme des 240 heures par trimestre.

2. Tu souhaites faire du volontariat ?

Le volontariat à l’étranger, tout comme en Belgique, ne représente pas un obstacle aux allocations familiales. Tu continues donc à les recevoir.

3. D’autres questions sur tes allocations familiales ?

Passe nous voir dans nos locaux ou contacte-nous par mail à l’adresse arlon@inforjeunes.be ou par téléphone au 063 23 68 98.

 

MUTUALITÉ

Avant ton départ, il est essentiel de contacter ta mutualité pour te fournir le formulaire qui te permettra de te faire rembourser de tes soins de santé éventuels à l’étranger.

L’outil en +
Selon ta situation, tu as la possibilité de consulter sur ce site les directives à suivre et les étapes nécessaires à entreprendre pour obtenir le remboursement de tes frais médicaux (partiellement ou intégralement).

  • Si tu pars pour un séjour au sein de l’Union européenne (ou en Suisse, en Norvège, en Islande ou au Liechtenstein), tu dois demander auprès de ta mutualité la « Carte européenne d’assurance maladie » (CEAM). Elle te permettra de bénéficier du remboursement des soins de santé urgents et imprévus (une fracture, un accident…) durant ton séjour en Europe.
    Plus d’infos sur https://link.infini.fr/ceam et sur https://link.infini.fr/mutas-3.

ATTENTION, dans certains pays, la non-présentation de la CEAM peut entraîner d’office l’application d’un tarif privé et donc plus élevé, qui ne te sera pas remboursé en Belgique.

  • Si tu pars pour un séjour hors Union européenne, tu dois te renseigner auprès de ta mutualité pour vérifier si le motif et la durée de ton voyage tombent sous le régime de ton assurance et de quelle intervention tu bénéficies dans le pays où tu séjournes. Plus d’infos : https://link.infini.fr/mutas-2.
    Vérifie également auprès de ta mutualité si tu es en ordre de cotisation pour l’assurance complémentaire. Dans ce cas, tu peux demander la « World Assistance Card ». Au dos de celle-ci, tu trouveras le numéro de téléphone de la centrale d’alarme Mutas à contacter en cas de soins médicaux urgents et imprévus. Plus d’infos sur https://link.infini.fr/mutas-2.
  • Si tu pars travailler hors de l’EEE (Espace Economique Européen, voir p.61), de la Suisse et du Royaume-Uni, tu peux aussi t’affilier à la sécurité sociale d’outre-mer qui te permettra de bénéficier des avantages des assurances sociales belges (soins de santé, incapacité de travail, maternité…). Plus d’infos : https://link.infini.fr/outremer

Dans tous les cas, n’hésite pas à contacter ta mutualité pour vérifier les conditions d’assistance médicale et les conditions d’intervention dans ton pays de destination ! Si tu n’es pas assuré dans celui-ci ou que tu veux une couverture plus large (soins de santé non urgents, bagages égarés, animaux domestiques…), tu peux souscrire à une assurance de voyage privée.

ATTENTION, il faut toujours conserver les attestations et les factures de soins reçues à l’étranger et prévenir rapidement ta mutualité en cas d’hospitalisation ou d’incapacité de travail.

 

DEMANDEUR D’EMPLOI

1. Le stage d’insertion professionnelle

Les règles diffèrent en fonction de l’objet de ton séjour, par ex. :

  • si tu effectues une formation ou un stage approuvé par l’ONEM, alors ton stage d’insertion professionnelle se poursuivra normalement. Pour être accepté, ce projet de voyage doit augmenter tes chances de trouver du travail. Si l’ONEM refuse la prise en compte de la formation et que tu la suis malgré tout, ton stage d’insertion professionnelle sera suspendu pendant la durée de ton séjour à l’étranger ;
  • si tu es demandeur d’emploi bénéficiaire d’allocations d’insertion ou de chômage, tu peux demander une dispense auprès de ton organisme de paiement (CAPAC ou syndicat) afin d’être épargné de certaines obligations (recherche active d’emploi, disponibilité sur le marché, réponse aux offres d’emploi) tout en conservant tes allocations ;
  • si tu bénéficies d’allocations de chômage depuis au moins 4 semaines et que tu souhaites te rendre dans un pays européen, en Islande, au Liechtenstein, en Norvège ou en Suisse dans le but d’y trouver du travail, tu as le droit de te faire transférer tes allocations dans ton pays de destination pour une période de 3 à 6 mois maximum.

Si tu as besoin d’une réponse détaillée en fonction de ta situation, n’hésite pas à prendre directement contact avec l’ONEM.

02/515.44.44 – www.onem.be

2. Les dispenses pour partir à l’étranger

Si tu es demandeur d’emploi bénéficiaire d’allocations d’insertion ou de chômage et que tu obtiens une dispense, tu es alors exempté de certaines obligations (recherche active d’emploi, disponibilité sur le marché, réponse aux offres) tout en conservant tes allocations.

Voici les dispenses pour lesquelles l’ONEM est compétent :

  • la dispense pour participer à une action humanitaire à l’étranger ;
  • la dispense pour faire un stage de coopération au développement comme coopérant ou jeune demandeur d’emploi agréé. Dans ce cas, tu dois conclure une convention autour d’un projet avec une ONG reconnue, être bénéficiaire d’allocations d’insertion et partir pour une période de 4 à 12 mois (renouvelable) ;
  • la dispense pour chercher un emploi, participer à une manifestation culturelle ou sportive ou à l’étranger.

Le FOREM, quant à lui, est compétent au sujet de la dispense pour suivre une formation ou un stage à l’étranger n’ayant pas d’équivalent en Belgique.

063/24.41.03 – www.leforem.be

 

TRAVAILLEUR

Si tu souhaites partir à l’étranger tout en conservant ton contrat de travail en Belgique tu peux prendre des congés payés. Ceux-ci sont calculés en fonction du travail effectué l’année précédente. Si tu n’en as pas assez pour la durée entière de ton voyage, il existe plusieurs autres possibilités :

  • les vacances jeunes :  si tu termines tes études à moins de 25 ans et que tu es occupé au moins 1 mois comme travailleur salarié cette même année, tu as droit à des congés supplémentaires payés par l’ONEM l’année suivante. Plus d’infos sur https://link.infini.fr/vac ;
  • les vacances européennes : si tu commences ou reprends une activité professionnelle, tu as droit à 5 jours de vacances européennes rémunérées par 3 mois de travail à temps plein cette même année. Mais attention, cette rémunération est une avance sur ton double pécule de vacances de l’année suivante et sera donc déduite de ce dernier quand tu le recevras ;
  • l’interruption de carrière ou crédit-temps :
    • les travailleurs salariés des secteurs privé et public ont la possibilité d’interrompre temporairement leur carrière ou réduire leur temps de travail. Chez les fonctionnaires, nous parlons d’interruption de carrière. Dans le secteur privé, il s’agit d’un crédit-temps. Les modalités de ces deux régimes de congé étant différentes, plus d’infos sur https://link.infini.fr/interruption ;
  • les congés sans solde : il s’agit de congés non rémunérés qui te permettent de récupérer ton emploi à ton retour. La durée et les modalités sont à définir avec ton employeur. Plus d’infos : https://link.infini.fr/sans-solde.

L’astuce en +
Veille à faire la demande à ton employeur suffisamment à l’avance ! Cela te permettra, ainsi qu’à ton employeur, d’organiser au mieux ton départ et ton remplacement éventuel.

 

ALLOCATAIRE DU CPAS

  • Le revenu d’intégration sociale (RIS) : tu peux partir à l’étranger pour 28 jours maximum par an en conservant ton droit. Si tu pars pour plus de 7 jours, tu devras obligatoirement prévenir le CPAS et donner la raison de ton séjour. Si tu dépasses les 28 jours, le RIS ne sera pas payé, sauf si le CPAS considère que le séjour se justifie par des circonstances exceptionnelles (formation, stage, secourir un membre de ta famille…).
  • L’aide sociale : c’est le CPAS qui va apprécier ta situation (rien n’est prévu par la loi concernant les séjours temporaires). Il peut appliquer les mêmes règles que pour le RIS. Tu dois dans tous les cas prévenir le CPAS de ton séjour, quelle que soit sa durée.

Il existe plusieurs moyens de transport qui te permettent de voyager :

  • La voiture : l’auto-stop ou le covoiturage te permettent d’économiser les coûts du voyage ou d’en partager les frais.
  • Le van aménagé : te permet d’économiser le prix des nuits dans un hébergement touristique. Mais attention, le camping sauvage n’est pas autorisé partout, il faut donc te renseigner sur les règles en vigueur dans ton pays de destination !
    De plus, cela te permet de réduire le budget “nourriture” si tu disposes d’une cuisine au sein de ton véhicule.
  • Le train : la SNCB propose toute une série de tarifs préférentiels pour les jeunes de moins de 26 ans, que ce soit pour voyager en Belgique ou en Europe. N’oublie pas de comparer les prix proposés avec les compagnies ferroviaires de ton pays de destination, ils sont parfois plus avantageux.
  • Le bus : les voyages en car entre villes et organisés par des compagnies privées sont souvent une formule bon marché. Voici quelques compagnies de bus pour voyager en Europe : www.flixbus.com, www.flibco.com, www.thetrainline.com/fr
  • L’avion : pour payer ton billet à un prix avantageux, tu peux le réserver longtemps à l’avance (6 mois voire un an) ou en dernière minute (« last minute »). Certaines compagnies proposent également des tarifs préférentiels pour les jeunes, des tarifs de groupe, low cost… Il existe des sites qui te permettent de comparer les prix proposés par différentes compagnies : www.skyscanner.net, www.kayak.fr, www.liligo.fr

ATTENTION, l’avion est souvent bon marché, mais sache que… “À titre indicatif : un aller-retour Paris-New York (d’une distance de 5 836 km) émet environ 1,75 tonne de CO2 – soit 885 kg de CO2e/passager/aller. En définitive, emprunter un vol long courrier engendre la quasi-totalité des émissions annuelles auxquelles un Français devrait se soumettre pour limiter le réchauffement climatique à + 1,5 °C d’ici la fin du siècle – fixée à 2 tonnes de CO2. Dès lors, l’implication de chacun est nécessaire pour réduire le bilan carbone de l’aérien. Il convient ainsi de limiter l’usage de l’avion au profit d’alternatives plus durables. Finalement, l’usage de l’avion doit rester un geste exceptionnel”. Source : https://link.infini.fr/avion

  • Le bateau : cargos, ferries, voiliers, pirogues… plusieurs propositions existent en fonction du pays concerné. Au même titre que l’auto-stop, tu peux aussi faire du bateau-stop.
  • À pied ou le vélo : de nombreuses randonnées existent et te permettent de voyager en Europe et dans le monde entier.

De manière générale, n’hésite pas à demander un tarif étudiant, une formule combinée, un pass, à utiliser ta carte de réduction internationale d’étudiant ISIC (www.isic.be)… 

L’outil en +
Le site omio.fr compare de nombreuses options de transport (train, bus, avion, ferry) en Europe, au Canada et aux États-Unis.

Si tu pars avec un organisme d’envoi, tu seras la plupart du temps accompagné pour trouver un logement (famille d’accueil, résidence étudiante, chez ton professeur de langue, dans un hébergement mis à disposition par les partenaires de ton projet…).

Par contre, si tu dois trouver un logement par toi-même, voici quelques pistes :

  • Housing Anywhere : c’est une plateforme qui te permet à la fois de trouver un logement dans plus de 30 pays, mais aussi de louer le tien à d’autres étudiants le temps de ton séjour à l’étranger (attention de bien vérifier auprès de ton propriétaire que tu es autorisé à sous-louer son bien lors de ton absence). Plus d’infos sur https://housinganywhere.com/fr/.
  • La colocation : si tu comptes rester sur place pour une longue durée, n’hésite pas à chercher des sites de colocation dans ton pays de destination.

L’astuce en +
De nombreux groupes Facebook et sites spécialisés existent pour trouver des colocations. Renseigne-toi sur ceux de la ville ou région dans laquelle tu te rends.

  • Les auberges de jeunesse : sont des hébergements conviviaux, où tu peux séjourner à moindre coût pour de courtes périodes. Tu as généralement le choix entre des chambres partagées (mixtes ou non) et des chambres privées. Visite www.lesaubergesdejeunesse.be pour plus d’infos sur le réseau belge et www.hihostels.com ou www.hostelworld.com pour le réseau international.
  • Les échanges de logement : cette formule te donne la possibilité d’échanger gratuitement ton logement avec celui d’autres voyageurs. De nombreux sites répertorient les offres et les demandes (une cotisation te sera demandée pour y avoir accès) : www.homeexchange.fr, www.switchome.org
  • Le logement chez l’habitant : loger chez l’habitant te permettra d’économiser le tout ou une partie des frais de logement. Voici quelques exemples :
    • Couchsurfing : www.couchsurfing.com te permet de loger gratuitement chez des habitants du monde entier ou de mettre à disposition ton logement pour accueillir des voyageurs ;
    • Holidaysitting : www.holidaysitting.be te donne la possibilité de visiter une région tout en disposant d’un logement gratuit chez l’habitant. En échange, tu devras garder sa maison et ses animaux pendant son absence ;
    • AirBnB : www.airbnb.be te permet de louer un appartement, une chambre ou un studio à des propriétaires… ;
    • Staydu : www.staydu.com te met en contact avec des habitants qui te laisseront loger chez eux gratuitement ou en échange d’un coup de main ou d’une participation financière.
  • Les chambres d’hôtes : tu peux louer une chambre chez l’habitant. Cette location comprend en général les linges de lit et le petit-déjeuner (d’autres services peuvent également être proposés).
  • Les gîtes et hôtels : ils ne sont pas toujours la solution la moins coûteuse, mais restent une alternative.

Le type de logement que tu choisiras dépendra évidemment de ton type de séjour et de sa durée !

Pour plus de facilité et une meilleure intégration sur place, tu peux apprendre avant ton départ quelques notions de base de la langue (ou améliorer ton niveau) du pays dans lequel tu voyages.

Pour ça, tu as 2 possibilités :

  • apprendre par toi-même via des applications mobiles ou des sites, en regardant des films dans la langue concernée, en correspondant avec des étrangers, en t’entrainant avec des amis…
  • L’outil en +

L’outil en +
Wal
langues te permet d’apprendre l’anglais, le néerlandais et l’allemand gratuitement sur www.wallangues.be.

  • prendre des cours auprès d’un organisme privé ou d’un professeur particulier, en présentiel ou en ligne.

L’astuce en +
Tu trouveras sur langues.siep.be le répertoire d’écoles de langues qui proposent des cours en Belgique, des stages, des séjours résidentiels, des cours à distance… et des informations sur les métiers en lien avec les langues, les tests et niveaux de langue.

N’hésite pas non plus à emporter dans ton sac de voyage un dictionnaire ou un lexique dans la langue concernée, à utiliser des applications de traduction… Et surtout, garde en tête que peu importe ton niveau, il est important de montrer aux locaux ta volonté d’apprendre leur langue !

INFOR JEUNES LUXEMBOURG

Nous t’aidons dans ton projet grâce à :

  • un accueil et des infos pour t’aider à définir ton projet de mobilité ;
  • différents outils d’informations :
    • le répertoire des organismes d’envoi, de financement et d’information pour chaque type de mobilité téléchargeable sur https://link.infini.fr/repertoire-2 ;
    • le site enviesdailleurs.be qui te permet de découvrir des témoignages de jeunes partis à l’étranger ;
    • les check-lists : te permettant de préparer au mieux ton séjour et d’emporter avec toi les documents essentiels téléchargeables sur bougerjeunes.be/telechargements ;
    • les dossiers juridiques concernant la préparation de ton voyage ainsi que tes droits et devoirs lors de ton séjour à l’étranger ;
  • des séances d’informations : organisées tout au long de l’année scolaire avec l’intervention d’organismes d’envoi ou de financement, ainsi que de jeunes voyageurs témoignant de leur expérience à l’étranger ;
  • un Forum des Voyageurs : une fois par an, Infor Jeunes Luxembourg organise un événement à plus grande échelle lors duquel des jeunes témoignent de leur voyage, des organismes d’envoi et de financement présentent leurs services et des tables rondes et conférences sont organisées pour t’informer à propos de diverses thématiques (choc culturel, volontariat…). Plus d’infos : https://link.infini.fr/forum-2.

Pour connaître la date de nos prochains évènements sur la mobilité internationale, rendez-vous sur notre site, nos pages Facebook et Instagram.

Retrouve l’enregistrement de nos évènements en ligne sur notre chaîne Youtube @IjArlon.

 

AUTRES CENTRES INFOR JEUNES

D’autres centres Infor Jeunes existent aussi en Belgique. Pour les trouver, rendez-vous sur le site de notre fédération : www.inforjeunes.be/centre

Il existe également d’autres centres d’information jeunesse en Europe, n’hésite pas à les contacter :

  • en France : La maison de l’engagement et de l’initiative des jeunes (MEIJ)
    +33 (0)3/83.37.04.46 – jeunesenterritoires@gmail.com – www.jeunesenterritoires.fr ;
  • au Luxembourg : Agence Nationale pour l’Information des Jeunes (ANIJ)
    +352/26.293.200 – jugendinfo@anij.lu – www.jugendinfo.lu.

 

AUTRES JEUNES VOYAGEURS

Ces derniers pourront te partager leurs expériences, conseils et bons plans.

Par ex. : ils peuvent te conseiller certains sites ou quartiers lors de ta recherche de logement, t’expliquer comment ils ont géré les difficultés rencontrées avant, pendant et au retour de leur séjour, te transmettre les chouettes endroits à visiter…

Sur notre site www.enviesdailleurs.be, tu trouveras toute une série de témoignages. En bas de page de chacun d’eux se trouvent les coordonnées du jeune voyageur afin que tu puisses lui poser directement toutes tes questions !

D’autres témoignages de jeunes voyageurs sont également disponibles sur le site des différents organismes d’envoi.

Lors de nos séances d’infos et notre Forum des Voyageurs, nous te proposons aussi d’échanger avec de jeunes baroudeurs.

 

ORGANISMES ET RESSOURCES UTILES

D’autres organismes ou ressources existent pour

  • Dynamo international est un service gratuit qui accompagne tous les jeunes âgés de 13 à 25 ans dans leurs projets de mobilité (hors projets d’études) – https://dynamointernational.org.
  • Le site www.mobilitedesjeunes.be regorge d’infos utiles pour partir à l’étranger ou venir en Belgique.
  • Le SPF Affaires étrangères t’informe sur les précautions à prendre et les formalités à remplir avant un voyage (conseils et informations par destination) et sur les ambassades en Belgique et à l’étranger : www.diplomatie.belgium.be.

L’astuce en +
Se créer un compte sur ce site permet, en cas de situation d’urgence (catastrophe naturelle, crise politique…), que le SPF Affaires étrangères, les ambassades et consulats à l’étranger aient accès à tes données de contact et puissent ainsi t’informer des démarches à effectuer et t’assister au besoin.

  • La Grande Région est constituée de la Wallonie, de la communauté germanophone de Belgique, de la Lorraine (France), de la Sarre et de la Rhénanie-Palatinat (Allemagne) et du Grand-Duché de Luxembourg. Tu trouveras des informations sur l’emploi, les stages, les formations… dans cette région sur www.granderegion.net
  • Le Portail européen de la jeunesse est une source d’informations incontournable si tu souhaites travailler, étudier ou faire du volontariat à l’étranger. Tu y trouveras la documentation nécessaire, les services qui peuvent t’aider, mais aussi des liens vers d’autres sites intéressants – europa.eu/youth/EU_fr
  • Europe Direct est un relais d’informations, un centre éducatif et un outil de sensibilisation à l’Union européenne. Contact : 00800/67.89.10.11
  • Eurodesk  est un réseau européen qui fournit des informations sur les questions de mobilité internationale. N’hésite pas à contacter l’agence belge Bureau International de la Jeunesse (BIJ) ou celle de ton pays de destination pour toute question – www.eurodesk.eu
  • Euroguidance est un réseau européen pour la promotion de la dimension européenne dans l’orientation scolaire, professionnelle, et dans la mobilité. Ce site t’informera sur les programmes de mobilité en Europe, les stages professionnels à l’étranger, le volontariat, les chantiers internationaux… – www.euroguidance.be
  • Centre des Immigrés Namur-Luxembourg 0497/51.72.95 (Arlon) ou 061/29.25.18 (Libramont) – www.cinl.be

Pour toute question, passe nous voir dans nos bureaux !

 

Découvrir le monde

Il existe de nombreuses possibilités pour partir à l’étranger !

Pour découvrir celle qui te convient le mieux, c’est par ici !

Pour chaque type de séjour, il existe des organismes d’envoi, d’information et de financement (qui organisent ton voyage, te mettent en lien avec des écoles, des projets de volontariat, des employeurs… sur place) que tu peux retrouver dans notre répertoire sur https://link.infini.fr/repertoire-2.

Retrouve des témoignages de jeunes voyageurs sur notre site www.enviedailleurs.be et sur notre chaîne Youtube @IjArlon.

L’outil en +
L’application Polarstep (gratuite) te permet à la fois de te créer un carnet de voyage, de partager tes aventures en direct avec tes proches, mais également de suivre d’autres voyageurs et de découvrir leurs recommandations. À la fin de ton voyage, tu as même la possibilité d’imprimer tes aventures et toutes les étapes marquantes de ton séjour dans un livre (payant).

La situation est différente dépendamment de la durée du séjour et du type de programme que tu souhaites entreprendre (semestre, année scolaire, cycle complet…).

Bien entendu, tu peux organiser ton programme d’études toi-même. Mais il est parfois compliqué de trouver une école, de faire reconnaître l’équivalence de tes diplômes, de trouver un logement, de faire les démarches pour garder ton droit aux allocations familiales, à la mutualité ou encore de décrocher une bourse. Plusieurs programmes existent donc pour faciliter ta scolarité à l’étranger.

Garde bien en tête que les séjours scolaires demandent souvent un temps de préparation important. Certaines demandes de bourses ou de reconnaissance de diplôme doivent être introduites plusieurs mois avant ton départ. Aussi, certains organismes d’envoi fonctionnent selon le principe du “premier arrivé, premier servi” et si tu souhaites voyager dans une destination fort demandée, tu risques de te voir refuser la place si tu t’y prends trop tard. Commence donc à te renseigner une année à l’avance.

L’outil en +
Télécharge le répertoire des organismes de financement, d’envoi et d’information pour connaître toutes les possibilités qui s’offrent à toi pour partir à l’étranger en fonction du type de séjour qui t’intéresse.

 

  • Le programme Expedis te permet, à partir de la 3e secondaire, de suivre une partie de ta scolarité dans une autre communauté linguistique en Belgique ou à l’étranger. Tu logeras dans une famille d’accueil ou dans un internat.
    Tu peux soit :
    • Organiser ton séjour dans le cadre privé avec tes parents, ton école belge et ton école d’accueil. Dans ce cas, tu pourras partir pour une durée de 1 à 3 mois ;
    • Passer par un organisme de coordination qui assurera l’organisation de ton séjour. Tu pourras alors partir pour une durée de 3 à 10 mois (une année scolaire).

Petite précision : en 6e année, ton séjour devra durer au maximum 3 mois et se dérouler avant la fin mars de ton année scolaire. Plus d’infos : enseignement.be

Tu peux aussi suivre une partie de ta scolarité à l’étranger en dehors du programme Expedis, tu dois juste veiller à la reconnaissance de ton cursus pour ton retour en Belgique.

  • Le programme Erasmus+ te permet également d’effectuer un stage, suivre des cours, faire une visite d’études… à l’étranger. Pour plus d’infos, renseigne-toi auprès de la direction de ton école et rends-toi sur www.erasmusplus-fr.be.

 

Tu peux également partir à l’étranger tout en poursuivant l’enseignement secondaire à distance (e-learning) organisé par la Fédération Wallonie-Bruxelles. À la fin de cette formation, tu devras réussir les examens des jurys (CEB, CE1D, CE2D, CESS…). Tu trouveras plus d’infos sur l’e-learning et les jurys dans la section « Études ».

ATTENTION, si tu es toujours soumis à l’obligation scolaire, tu devras aussi répondre aux conditions et effectuer les démarches pour l’enseignement à domicile.

 

Certains enseignants organisent des séjours à l’étranger avec leur classe. Par ex. : un voyage scolaire, un séjour pour aller à la rencontre d’autres étudiants autour d’un projet commun, un échange linguistique…

 

Tu ne te sens pas prêt à commencer des études supérieures ? Tu veux vivre une expérience à l’étranger avant de commencer à travailler ? Après ta 6e année secondaire, tu peux aller faire une 2e rhéto à l’étranger pour un semestre ou une année scolaire complète.

Tu peux soit organiser le séjour par toi-même ou passer par un organisme d’envoi qui te proposera des écoles partenaires et un logement, t’accompagnera dans les démarches administratives, assurera un suivi une fois sur place…

La bourse du Plan Langues du Forem finance sous certaines conditions ce type de séjour.

 

Dans certaines études, tu es amené à faire un stage qui te permet d’apprendre dans un contexte professionnel. Souvent, tu as la possibilité de l’effectuer à l’étranger, tant dans l’enseignement secondaire (si tu es dans une formation qualifiante) et supérieur que dans un autre type de formation qualifiante (promotion sociale, IFAPME…). Pour plus d’infos sur tes opportunités, contacte la personne responsable de la mobilité des étudiants de ton école.

C’est le programme Erasmus+ qui te donne ces opportunités. Pour toute information supplémentaire, rendez-vous sur www.bougerjeunes.be (Erasmus+ volet éducation/formation).

 

Le compagnonnage permet aux jeunes à partir de 15 ans d’apprendre en entreprise un métier des secteurs de la pierre, du bois, du métal, des textiles, de bouche, du bâtiment, de l’industrie… Il s’agit de formations continues ou de formations en alternance que tu peux faire en partie en France.

Plus d’infos : www.compagnons-du-devoir-belgique.com et www.compagnons-du-devoir.com.

 

Certains programmes du Bureau International de la Jeunesse (BIJ) par exemple te permettent d’explorer ton secteur d’études hors du cadre scolaire :

  • « Artichok » permet aux jeunes artistes (20 à 35 ans) de participer à une formation complémentaire n’existant pas en Fédération Wallonie-Bruxelles. Attention, pour pouvoir participer, il ne faut plus être sous statut étudiant.
  • « Entrechok » permet aux jeunes créateurs d’un projet entrepreneurial (20 à 35 ans) de participer à des salons, des forums ou de rencontrer des partenaires en lien avec leur projet.
  • « Québec rencontres et partenariats » permet aux jeunes (16 à 35 ans) de faire une visite d’études, un projet de partenariat et/ou d’échanger ou de participer à un colloque, un forum, une conférence… au Québec sur une thématique spécifique.
  • « Tremplin plus » permet aux jeunes (18 à 35 ans) de participer à un colloque, un forum, une conférence… ou de suivre une formation pratique de type court, qui n’existe pas en Fédération Wallonie-Bruxelles, à l’étranger.

 

Si tu es un étudiant étranger et que tu souhaites venir faire tes études en Belgique, rendez-vous ici « Études – étudiant étranger en Belgique”.

Il existe plusieurs manières d’apprendre une langue à l’étranger. Les voici ci-dessous.

L’outil en +
Télécharge le répertoire des organismes de financement, d’envoi et d’information pour connaître toutes les possibilités qui s’offrent à toi pour partir à l’étranger en fonction du type de séjour qui t’intéresse.

 

SÉJOURS LINGUISTIQUES

Il s’agit de suivre des cours dans une école de langues à l’étranger. En général, les organismes proposent des séjours à la carte dans lesquels tu peux choisir la langue ou le pays désiré, la durée de ton séjour (allant d’une semaine à une année scolaire), le mode d’accueil (en famille, en résidence…), l’intensité des cours, le contenu proposé, le prix…

Différentes formules existent :

  • le séjour en école de langue classique ;
  • la préparation aux tests de langues officiels : qui te permettent de t’inscrire dans des écoles et universités, de prouver tes connaissances linguistiques dans un domaine spécifique et lors de ta recherche d’emploi. Plus d’infos : https://link.infini.fr/tests ;
  • le séjour chez un professeur de langues : tu suis des cours particuliers et vis en immersion chez ton professeur à l’étranger ;
  • le séjour de vacances : tu suis des cours de langues pendant les vacances scolaires. Souvent ces formules combinent des activités touristiques, culturelles, sportives… ;
  • les séjours couplés avec des activités de volontariat, un stage, un emploi…

La bourse du Plan Langues du Forem finance sous certaines conditions ce type de séjour.

 

Tu peux également apprendre une langue en immersion (sans cours) comme volontaire dans une association, en vivant au sein d’une famille, comme stagiaire dans une entreprise…

La différence avec l’apprentissage en école de langues est la suivante : avec l’immersion, tu apprendras la langue par la pratique avec des personnes dont c’est généralement la langue maternelle. En séjour linguistique, tu suivras des cours en classe avec des personnes du monde entier qui ne maîtrisent pas parfaitement la langue, ils viennent l’apprendre comme toi. Le séjour linguistique met donc l’accent sur un apprentissage scolaire tandis que l’immersion est plutôt axée sur un apprentissage pratique. À toi de choisir l’option qui te convient le mieux !

Voici des exemples d’apprentissage en immersion :

  • le Bureau International de la Jeunesse (BIJ) propose pour les jeunes (16 à 35 ans) des programmes dédiés à l’apprentissage d’une langue à l’étranger : Tremplin Langues, Bel’J et volontariat européen, dans lesquels tu apprends une autre langue en travaillant bénévolement pour une association située dans une autre communauté linguistique belge, en Europe ou ailleurs ;
  • le Forem propose aux étudiants sortants de rhéto et aux demandeurs d’emploi différentes formules de stages linguistiques à l’étranger, dans certains pays anglophones (Malte, Irlande…) ou en Belgique. Plus d’infos : https://link.infini.fr/foremlangues ;
  • le site www.swap-swap.be met en contact des enfants et adolescents des communautés françaises et flamandes afin d’organiser un échange linguistique pour apprendre le néerlandais. D’autres sites d’échanges linguistiques existent comme par ex. : www.tandem.net/fr , www.hellotalk.com

 

Avec les cours de langues à distance, tu peux apprendre les bases d’une langue ou améliorer ton niveau avant de partir, pendant ton voyage…

L’astuce en +
Même si on te l’a sûrement déjà dit, évite de trop rester avec les personnes qui parlent la même langue que toi et ose aller vers des personnes qui parlent celle que tu souhaites apprendre ! Aussi, n’hésite pas à utiliser des applications de traduction pour te faire comprendre dans tes débuts.

Tu veux acquérir de l’expérience et effectuer un stage professionnel ? Tu souhaites découvrir un pays et sa culture en travaillant dans celui-ci pour vivre ton expérience à moindre prix ? Apprendre une langue en milieu professionnel ? Plusieurs raisons peuvent te pousser à aller travailler à l’étranger.

Tu trouveras sur le site www.emploi-box.be une mine d’infos sur les services te permettant de développer une expérience ou une carrière à l’international : conseils, stages, emploi…

L’outil en +
Télécharge le répertoire des organismes de financement, d’envoi et d’information pour connaître toutes les possibilités qui s’offrent à toi pour partir à l’étranger en fonction du type de séjour qui t’intéresse.

 

Être jeune au pair c’est être accueilli dans une famille, logé et nourri en échange de tâches familiales (principalement la garde d’enfants). Tu recevras également une rétribution financière. L’objectif est de t’immerger dans la culture du pays et de perfectionner ton niveau de langue tout en participant à la vie de ta famille d’accueil.

Ce type de séjour concerne les jeunes à partir de 17 ans (variable selon le pays d’accueil) et peut durer jusqu’à 1 an, renouvelable une fois. Il est également possible d’organiser un voyage au pair en Belgique néerlandophone ou d’accueillir chez soi un jeune en séjour au pair.

Il faut savoir que les démarches et conditions varient selon la destination. Si tu souhaites partir dans un pays de l’Union européenne, un accord européen sert de référence et propose un contrat standard. Attention toutefois que chaque pays applique sa propre législation nationale. Par contre, si tu pars hors Union européenne, il faudra te renseigner auprès du consulat du pays choisi. Plus d’infos : https://link.infini.fr/aupair.

Il existe différentes manières de trouver ta famille d’accueil :

  • via des connaissances ou de la famille à l’étranger ;
  • par de petites annonces sur des sites spécialisés. Par ex. : www.teli.asso.fr ;
  • par des agences de placement : cette méthode est souvent utilisée, car elle soulage de nombreuses démarches administratives et propose des familles présélectionnées. Il s’agit souvent de services payants. Cette formule te permet, en cas de difficulté, de contacter l’agence et de demander un changement de foyer. Tu trouveras sur le site de l’International Au Pair Association la liste des agences par pays.

 

Tu peux travailler comme étudiant dans un pays étranger. Dans ce cas, tu seras soumis à la législation du pays dans lequel tu travailles. Si tu travailles simultanément dans plusieurs pays européens, des règles et modalités spécifiques s’appliquent. Si c’est ton cas, contacte la Direction des relations internationales de l’ONSS – 081/25.02.60 – DirNamurLuxembourg@onssrszlss.fgov.be

Certains pays hors de l’espace économique européen (par ex. : le Canada) acceptent que tu travailles comme étudiant avec un visa étudiant, sous certaines conditions. Mais dans la majorité des cas, un visa de travail sera nécessaire. Pour en savoir plus, contacte l’ambassade de ton pays de destination.

Sache que tes heures prestées à l’étranger ne seront pas décomptées de ton quota de 600 h belge. Par contre, tu restes soumis aux mêmes règles pour ton droit aux allocations familiales en Belgique.

 

Les jobs saisonniers sont spécifiques à une saison. Ils te permettent souvent d’être payé et/ou logé et nourri en échange de ton travail.

Par ex. : tu pourrais travailler dans les vignobles, les champs, les vergers, mais aussi comme moniteur de sport, animateur, guide touristique ou encore dans l’hôtellerie…

Pour dénicher un job saisonnier, consulte les offres d’emploi des organismes compétents (service à l’emploi, agences intérims…) à l’étranger, utilise le bouche-à-oreille ou consulte des sites spécialisés / www.teli.asso.fr/, www.leisurejobs.com/

 

Partir en mission humanitaire, c’est mettre ses compétences professionnelles à disposition pour porter secours à des pays qui rencontrent une crise (guerre, catastrophe naturelle, épidémie…) ou qui sont en voie de développement. La mission peut se faire en tant que bénévole, mais souvent il s’agit de missions rémunérées sur base d’un contrat de travail.

ATTENTION, il ne faut pas confondre l’humanitaire et le volontariat. Dans le premier, tu es sélectionné en fonction de compétences spécifiques pour exercer un métier (médecin, infirmier, logisticien…) et l’objectif est de répondre à une situation de crise ou de développement. Dans le second, tu ne dois pas avoir de compétences particulières, et l’objectif est de donner un coup de main à une association locale et de vivre une rencontre interculturelle pour te sensibiliser à la citoyenneté.

 

Le Programme Vacances Travail (PVT) est une formule qui permet aux jeunes de 18 à 30 ou 35 ans (dépendamment de ton pays de destination) d’obtenir un visa pour une durée d’un an maximum (parfois renouvelable) qui permet de travailler légalement dans le pays dans lequel tu voyages. Pour la Belgique, les destinations proposées sont les suivantes : Australie, Nouvelle-Zélande, Canada, Taïwan et Corée du Sud. Plus d’infos : www.pvtistes.net

Tu peux organiser ton PVT ou payer les services d’un organisme d’envoi pour te faire accompagner (démarches administratives, formules avec cours de langues, aide à la recherche d’un emploi…).

 

Tu travailles quelques heures par semaine chez un hôte qui a besoin d’un coup de main, il peut s’agir d’un agriculteur, d’un éleveur, d’un entrepreneur, d’une association, d’une auberge de jeunesse… En contrepartie tu es logé, nourri et blanchi.

Consulte des sites comme :
wwoofinternational.org (réseau mondial de fermes bios), www.workaway.info, www.helpx.net

 

Cette formule te permet d’avoir une expérience professionnelle à l’étranger. Plusieurs organismes proposent des programmes et des bourses pour t’aider à réaliser ce projet. Voici des exemples :

  • les programmes du BIJ :
    • Tremplin Job et Tremplin Job Québec : ces programmes permettent aux jeunes (18 à 35 ans) de vivre une expérience en milieu professionnel à l’étranger. Plus d’infos : www.lebij.be/tremplin-job et www.lebij.be/tremplin-job-quebec ;
    • Eurodyssée : ce programme permet aux jeunes diplômés (18 à 35 ans, variable en fonction de la région d’accueil) d’effectuer un stage professionnel de 3 à 7 mois en Europe. Plus d’infos : www.lebij.be/eurodyssee ;
  • Le Forem : propose différentes formules de stages professionnels en Europe, mais aussi en Flandre et en Communauté germanophone. Plus d’infos sur www.leforem.be (immersion linguistique en entreprise) ;
  • Wallonie-Bruxelles-International (WBI) : accorde des bourses aux jeunes diplômés qui veulent réaliser un stage dans une organisation internationale ou en entreprise. Plus d’infos : www.wbi.be/fr/bourses.  

 

Pour travailler à l’étranger, tu peux aussi passer par la voie « classique ». C’est-à-dire, rechercher un emploi comme tu le ferais en Belgique. Veille néanmoins à te renseigner sur les spécificités de la recherche d’emploi dans les pays dans lesquels tu postules ! Par exemple, la manière de rédiger un CV, de postuler… peut varier d’un pays à l’autre.

De nombreux organismes existent pour t’informer ou t’aider à trouver un travail à l’étranger. En voici des exemples :

  • le Forem : fait partie du réseau européen pour l’emploi Eures. Des conseillers en mobilité internationale sont disponibles pour t’accompagner dans ton projet professionnel et t’informer sur les bourses existantes. Plus d’infos : https://link.infini.fr/conseillers ou sur le site d’Eures ;
  • Union francophone des Belges à l’étranger : t’informe sur tes droits sociaux, les démarches fiscales et administratives… Pour bénéficier de ces services, tu dois être affilié ! Plus d’infos : www.ufbe.be ;
  • tu peux également consulter des sites proposant des offres de jobs à l’étranger.

Garde à l’esprit que si tu souhaites te faire engager sur base de ton diplôme, tu devras peut-être le faire reconnaître dans ton pays de destination. Renseigne-toi auprès du centre Enic-Naric ou auprès de l’ambassade belge de ce pays.

L’astuce en +
Si tu es travailleur transfrontalier dans le Benelux (Belgique, Pays-Bas, Luxembourg et Allemagne), tu trouveras des infos utiles sur tes droits sociaux et sur les questions de fiscalité sur ce site.

 

Sache que tu as tout à fait le droit de télétravailler en Belgique pour une entreprise étrangère. Il s’agit toutefois d’être bien renseigné sur l’impact de ce mode de travail sur tes impôts et sur la sécurité sociale.

Pour ce qui est de la sécurité sociale, en principe si tu résides en Belgique et que tu travailles pour une entreprise européenne, tu continueras à bénéficier du système de sécurité sociale belge. Rien à faire de ce côté-là, c’est ton employeur qui sera dans l’obligation de déclarer ton travail auprès de l’ONSS.

Pour tes impôts, si tu travailles depuis la Belgique, tu paieras des impôts en Belgique. En principe, tu ne devras pas payer d’impôts dans le pays de l’entreprise pour laquelle tu travailles, car les pays ont des accords pour éviter la double imposition.

ATTENTION, il existe une petite exception si tu travailles au Luxembourg. En effet, la loi permet aux travailleurs frontaliers vivant de l’autre côté de la frontière d’exercer leur activité salariée pendant 34 jours en dehors du Luxembourg tout en demeurant soumis à l’impôt au Luxembourg.

Sache qu’avant de te lancer dans ce genre de projet, il est toujours préférable de contacter les organismes compétents pour leur exposer ta situation spécifique, à savoir : l’ONSS et le SPF Finances.

 

Plusieurs programmes te permettent de partir à l’étranger pour assister à un colloque, rencontrer d’autres professionnels, participer à un échange de pratiques… C’est le cas notamment de certains programmes du Bureau International de la Jeunesse (BIJ), d’Erasmus+, du WBI…

Par ex. : le BIJ publie régulièrement des appels à candidatures pour participer à des formations courtes, à des échanges de savoirs et de pratiques, à des rencontres destinées à créer un réseau européen… pour les travailleurs jeunesse. Il propose également divers programmes qui te permettent de faire une visite d’études sur une thématique qui t’intéresse professionnellement dans un autre pays, rencontrer des partenaires…

Tu trouveras ci-dessous toutes les informations utiles concernant les formules qui te permettent de faire du volontariat et/ou des rencontres culturelles à l’étranger.

L’outil en +
Télécharge le répertoire des organismes de financement, d’envoi et d’information pour connaître toutes les possibilités qui s’offrent à toi pour partir à l’étranger en fonction du type de séjour qui t’intéresse.

 

ÉCHANGE DE JEUNES

Tu rejoins un groupe de jeunes belges pour partir dans un pays étranger à la rencontre d’autres jeunes. Tu peux soit organiser ce séjour avec ton groupe, soit passer par un organisme d’envoi qui t’accompagnera dans la création de ton projet, soit rejoindre un projet existant. Ces organismes sont la plupart du temps des organisations de jeunesse, des maisons de jeunes, des mouvements de jeunesse… N’hésite pas à nous solliciter ou te renseigner auprès de ceux qui se trouvent près de chez toi pour savoir s’ils en organisent ou s’ils seraient prêts à initier ce genre de projet avec toi.

Ce type de séjour peut être soutenu financièrement par le Bureau International de la Jeunesse via plusieurs programmes :

  • Axe Sud : pour les jeunes (16 à 35 ans) qui souhaitent construire un projet avec de jeunes Africains ;
  • Échange de jeunes – Erasmus+ : pour les jeunes (13 à 30 ans) qui souhaitent construire un projet avec de jeunes Européens ;
  • Québec rencontres et partenariats : pour les jeunes (16 à 35 ans) qui souhaitent construire un projet avec de jeunes Québécois ;
  • Bel’J : pour les jeunes (12 à 25 ans) qui souhaitent construire un projet avec des jeunes d’autres communautés belges.

 

Plusieurs programmes existent pour t’aider dans la réalisation de tes projets, qu’ils soient personnels ou collectifs. Voici quelques exemples non exhaustifs :

1. Réaliser ton projet avec le soutien du BIJ

Le BIJ peut te soutenir financièrement et méthodologiquement dans tes projets individuels ou collectifs via toute une série de programmes spécifiques :

  • Québec rencontres et partenariats : pour les jeunes (16 à 35 ans) qui veulent réaliser un projet en lien avec une passion ou un centre d’intérêt au Québec ;
  • Artichok : pour les jeunes artistes (20 à 35 ans) qui veulent développer leur parcours artistique, échanger des bonnes pratiques, participer à une formation… à l’étranger et en Fédération Wallonie-Bruxelles ;
  • Entrechok : pour les jeunes (20 à 35 ans) qui veulent réaliser une mission internationale les aidant dans la création et le développement de leur projet entrepreneurial.
2. Réaliser ton projet avec le soutien du Corps Européen de Solidarité

Le Corps Européen de Solidarité (CES) offre aux jeunes (17 à 30 ans) la possibilité de mener des activités de solidarité dans leur pays ou à l’étranger pour une durée de 2 à 12 mois. Un montant forfaitaire est accordé aux projets de solidarité, ainsi qu’un coaching. Attention, des conditions sont à respecter. Plus d’infos : https://link.infini.fr/ces ;

3. Réaliser ton projet avec le soutien d’Erasmus+

Ce programme peut soutenir financièrement et/ou méthodologiquement des projets collectifs qui te permettent de t’engager dans la société (au niveau économique, social, culturel, sanitaire…), d’organiser des rencontres entre des jeunes et des politiques, sensibiliser les jeunes à l’Europe et ses valeurs, renforcer les compétences numériques des jeunes… Plus d’infos : https://link.infini.fr/participation.

L’astuce en +
Tu aimerais monter un projet, mais tu ne sais pas comment t’y prendre ? Rendez-vous dans la section « projets »  et sur www.faubouger.be.

 

Plusieurs organismes proposent de faire du volontariat à l’étranger, chez les partenaires membres de leur réseau international. En fonction de ton projet, tu auras l’occasion de partir seul ou en groupe.

Voici le panel des formules existantes :

  • chantiers : il s’agit d’un groupe de jeunes belges qui partent à la rencontre d’un autre groupe de jeunes à l’étranger en vue de travailler sur un chantier commun (par exemple, la construction d’une école) ;
  • chantiers internationaux : propose, à 1 ou 2 bénévoles belges, de rejoindre des jeunes bénévoles venus de tous pays, pour travailler ensemble afin de développer un projet commun. Il faut en général pouvoir se débrouiller en anglais ;
  • séjour chez un hôte : tu travailles quelques heures par semaine chez un hôte qui a besoin d’un coup de main (il peut s’agir d’un agriculteur, d’un éleveur, d’un entrepreneur, d’une association…). En contrepartie tu es logé, nourri, blanchi ;
  • projets de volontariat européen (financé par le Corps Européen de Solidarité) : pour les jeunes (17 à 30 ans) qui veulent partir comme volontaire dans une association située dans leur pays ou à l’étranger. La durée du projet est de 2 à 12 mois et tous les frais (logement, nourriture, argent de poche…) sont pris en charge. Des projets d’une durée inférieure à 2 mois peuvent être mis en place pour des jeunes vivant des difficultés. Plus d’infos sur https://link.infini.fr/ces.  

Généralement, les projets de volontariat s’effectuent avec une association locale. Ces projets peuvent être d’ordre social, culturel, architectural, archéologique, environnemental ou autres. C’est aussi une façon d’apprendre une langue ou de l’améliorer en communiquant avec les locaux ou les autres participants !

1. Pourquoi dois-tu payer pour faire du volontariat ?

Les projets de volontariat ne s’organisent pas tout seul. Ce sont souvent des associations qui ont peu de moyens et des bénévoles qui mettent ce genre de projets en place. C’est d’ailleurs pour cela qu’ils ont besoin de toi. L’argent que tu paies permet à ces personnes de rentrer dans leurs frais et de rendre durable leur travail.

De plus, il faut distinguer plusieurs types de frais :

  • les frais de cotisation, d’inscription : ils sont versés à ton organisme d’envoi et vont couvrir les frais de fonctionnement de ce dernier ainsi que leur accompagnement (pour la préparation et le suivi de ton projet). Ils permettent également parfois à des volontaires étrangers ayant peu de moyens de venir en Belgique ;
  • les frais de participation au projet : ces frais sont à destination des associations locales (à l’étranger) à but non lucratif. Comme elles ont peu de moyens financiers, les frais vont leur permettre de te nourrir, de te loger et de faire vivre leurs projets… . Les frais de participation peuvent varier en fonction de la situation économique du pays ;
  • les frais de voyage : il s’agit des frais liés à ton transport, aux éventuels documents de voyage, vaccins, assurances…
2. Le volontourisme

ATTENTION, volontariat ≠ volontourisme ! En effet, certains organismes utilisent les méthodes commerciales du tourisme de masse pour promouvoir leurs projets de « volontariat international », ou de « projets humanitaires » dans le but de faire du profit sur la misère et la détresse humaine, mais aussi sur ta bonne volonté et ton sentiment de culpabilité.

Pour un projet de qualité, veille à te renseigner sur :

  • la manière dont le projet a été mis en place. A-t-il été construit avec et/ou pour les locaux ? ;
  • quelle est la finalité de l’association intermédiaire ? Est-elle sans but lucratif ou est-elle commerciale ? ;
  • quel accompagnement l’association intermédiaire te propose-t-elle ? Par exemple, en termes de préparation au choc culturel, à l’interculturalité ? ;
  • concernant la distribution des différents frais que l’on te demande : quelle partie va à ton organisme d’envoi ? Quelle partie va à l’association locale ? Attention, certains organismes commerciaux en profitent pour s’en mettre plein les poches !

Plus d’infos dans cette vidéo dans laquelle Ana Milanovic (créatrice de contenus) explique le complexe du “sauveur blanc” dans les pays en voie de développement et les dérives de l’aide humanitaire.

Sache également que tu peux aussi t’investir dans un projet de volontariat en Belgique (près de chez toi, dans une autre Communauté…).

ATTENTION également qu’il ne faut pas confondre l’humanitaire et le volontariat. Dans le premier, tu es sélectionné en fonction de compétences spécifiques pour exercer un métier (médecin, infirmier, logisticien…) et l’objectif est de répondre à une situation de crise ou de développement. Dans le second, tu ne dois pas avoir de compétences particulières. L’objectif est de donner un coup de main à une association locale et de vivre une rencontre interculturelle pour te sensibiliser à la citoyenneté.

Pour certains projets de mobilité, tu n’es pas obligé de faire appel à un organisme d’envoi. Tu peux faire les démarches nécessaires toi-même. Si tu as un budget serré, cela te permettra de faire des économies. Néanmoins, si tu ne te sens pas prêt à effectuer ces démarches ou que ton projet l’impose, tu devras choisir un organisme qui t’accompagnera. Mais comment choisir ?

Tu peux te renseigner sur la philosophie, les valeurs de l’organisme d’envoi. Cela te donnera une idée de leur manière de travailler, du type d’accompagnement dont tu pourras bénéficier… Tu trouveras ces informations sur les sites Internet des organismes (section « présentation », « à propos » ou « mentions légales »).

Voici les principaux types d’organismes :

  • les associations sans but lucratif (ASBL) (voir partie « Projets ») ;
  • les organisations de jeunesse (OJ) : Elles œuvrent pour faire des jeunes des citoyens responsables, actifs, critiques et solidaires (CRACS) ;
  • les organisations non gouvernementales (ONG) : il s’agit d’ASBL d’intérêt public, indépendantes de l’État et des institutions internationales. Leurs domaines d’intervention sont variés : droits de l’homme (Amnesty International…), écologie (Greenpeace…), protection des enfants…  ;
  • les entreprises sociales : il s’agit d’organismes commerciaux qui répondent au besoin d’une communauté ou d’intérêt public et au sein duquel les bénéfices sont redistribués, tout (modèle associatif) ou en partie (modèle coopératif), au projet social de l’entreprise ;
  • les entreprises privées : il s’agit d’organismes commerciaux classiques, au sein desquels les bénéfices reviennent aux actionnaires (personnes ayant investi dans l’entreprise).

Tu peux également choisir un organisme pour les prix qu’il applique, les pays de destination proposés, le type de logement possible, le type de public qu’il vise… N’hésite pas à comparer les différentes formules proposées par chaque organisme avant de te décider.

L’astuce en +
Infor Jeunes Luxembourg organise des séances d’informations ainsi qu’un Forum des Voyageurs lors desquels des organismes d’envoi, d’information ou de financement viennent présenter leurs programmes. Retrouve le calendrier de ces évènements sur notre site Internet, nos pages Facebook et Instagram ou en nous envoyant un email à arlon@inforjeunes.be.

Tu peux aussi retrouver les présentations des organismes d’envoi et de financement sur notre chaîne Youtube @IjArlon.

L’outil en +
Télécharge le répertoire des organismes de financement, d’envoi et d’information pour connaître toutes les possibilités qui s’offrent à toi pour partir à l’étranger, en fonction du type de séjour qui t’intéresse.

Pour toute question, passe nous voir dans nos bureaux !

 

Préparer ton retour

Valorise ton expérience

Au cours de ton expérience à l’étranger, tu as sûrement développé des compétences linguistiques, professionnelles, mais aussi humaines (autonomie, facilité relationnelle…). N’hésite pas à les mettre en avant.

De plus, ce genre d’expérience te permet souvent de développer des compétences non formelles (c’est-à-dire qui n’ont pas été acquises dans un cadre formel comme l’école par exemple). Il s’agit des compétences telles que la confiance en soi, l’ouverture aux autres, la capacité d’adaptation, le sens du contact… Elles sont à prendre en compte autant pour ton avenir professionnel que pour ta vie personnelle !

Par ex. : si tu postules pour les plaines communales, tu pourras détailler dans ta lettre de motivation en quoi ton mois de volontariat dans un orphelinat au Bénin a pu te permettre de développer ton sens du contact et des responsabilités ainsi que tes compétences en animation.

Cette plateforme te permet de centraliser toutes tes expériences (scolaires, professionnelles, personnelles), tes diplômes, compétences (linguistiques, numériques…) et centres d’intérêt à travers un CV européen. Des offres de formation et de travail te seront proposées en fonction de ton profil. Plus d’infos : www.europass.eu.

Il s’agit d’un outil européen de reconnaissance de la participation et de l’expérience d’apprentissage non formel acquise en prenant part à un projet Erasmus+/Jeunesse en Action. Les participants à ces projets peuvent décrire ce qu’ils ont réalisé et montrer ce qu’ils ont appris. Plus d’infos : www.lebij.be/youthpass ou sur www.youthpass.eu.

À partir de 18 ans, tu peux faire reconnaître officiellement tes expériences professionnelles (travail, stage, formation qualifiante…) :

  • pour travailler : tu peux obtenir un titre de compétences qui te permettra d’accéder à la profession (ou à une formation professionnelle) correspondante. Pour cela, tu devras réussir une épreuve de validation de tes compétences dans un centre de validation agréé. Durant tout ce processus, tu seras accompagné par un conseiller. Plus d’infos auprès du Consortium de validation des compétences (CVDC) – 0800/939.47 (Wallonie – Forem) www.cvdc.be ;
  • pour suivre des études supérieures : tu peux valoriser ton expérience (de min. 5 ans) pour obtenir des dispenses, une réduction du temps d’études, un accès direct à un master… Plus d’infos sur la valorisation des acquis d’expérience (VAE) dans le chapitre « Études » ou sur https://link.infini.fr/vae-4.

Si durant ton séjour à l’étranger tu as travaillé plus de 3 mois, tu dois prévenir ton organisme de paiement (syndicat ou CAPAC) afin qu’il puisse valoriser ce travail dans le calcul de tes allocations (si tu rentres dans les conditions pour les percevoir à ton retour). Si tu es parti dans un pays de l’EEE (Espace Economique Européen) (voir partie « préparer ton voyage », onglet « tes droits sociaux pendant ton voyage »), tu devras demander à l’organisme compétent en matière de chômage dans ton pays de destination de remplir le formulaire U1. Si tu es parti dans un pays hors de l’EEE, tu devras demander à ton employeur à l’étranger de te donner une attestation. Plus d’infos : www.onem.be.

ATTENTION, si en rentrant de ton séjour à l’étranger, tu (re)commences des études ou recherches un emploi, tu devras éventuellement veiller à :

  • ta recherche de logement : il faut souvent s’y prendre quelques mois à l’avance pour avoir le choix d’un logement qui te conviendra ;
  • ton orientation scolaire et professionnelle :
  • si tu envisages de continuer des études ou travailler, pense à entamer ta réflexion sur ton orientation à temps. En effet, ces choix résultent souvent d’un processus qui peut être long ;
  • l’équivalence de diplômes : si tu as suivi des études ou une formation et que tu as obtenu un diplôme, il serait intéressant ou même nécessaire dans certains cas (pour continuer des études ou trouver un travail), de les faire reconnaître en Belgique. Pour cela, tu devras introduire une demande au Service des équivalences de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Plus d’infos : www.equivalences.cfwb.be.

Pour toute question, passe nous voir dans nos bureaux !